Cuisine Vietnam

Cuisiner un plat que personne ne peut si bien réussir

7 choses qu’on aurait aimé savoir avant de voyager au Vietnam — GUIDE FRANCOPHONE AU VIETNAM, GUIDE PARLANT FRANCAIS AU VIETNAM (HANOI, SAI GON, HO CHI MINH, HUE, HOI AN) — 15 février 2019

7 choses qu’on aurait aimé savoir avant de voyager au Vietnam — GUIDE FRANCOPHONE AU VIETNAM, GUIDE PARLANT FRANCAIS AU VIETNAM (HANOI, SAI GON, HO CHI MINH, HUE, HOI AN)

Les billets de monnaie du Vietnam présentent trop de chiffre 0, ce qui doit parfois gêner les voyageurs de les reconnaître….est parmi les choses que Megan aurait aimé savoir avant de voyager au Vietnam. Megan, la blogueuse australienne partage ses expériences après plusieurs années consacrées à un tour du monde en révélant une partie intéressante sur […]

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#Histoires Expatriées – La cuisine vietnamienne — Les Voyages de Camille —

#Histoires Expatriées – La cuisine vietnamienne — Les Voyages de Camille

Cette année, j’ai décidé de participer au challenge #HistoiresExpatriées lancé par Lucie, elle-même expatriée à Venise depuis deux ans et auteur du blog L’occhio di Lucie. Alors en quoi consiste ce challenge ? Il s’agit en fait d’un rendez-vous mensuel pour les blogueurs expatriés aux quatre coins du globe qui se réunissent une fois par mois […]

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Divers : Mets aphrodisiaques en Cochinchine à la fin du XIXe — 28 Mai 2017

Divers : Mets aphrodisiaques en Cochinchine à la fin du XIXe

Au cours de mes recherches assez hétéroclites, j’ai découvert un ouvrage de plus intéressants, écrit par un médecin militaire français qui a séjourné près de trente années dans les colonies françaises, pendant la seconde moitié du dix-neuvième siècle. Ce livre, publié sous le nom de plume du « Docteur Jacobus X. » et intitulé L’Amour aux colonies […]

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Les dix meilleures spécialités de Da Nang — Sinogastronomie — 30 novembre 2016

Les dix meilleures spécialités de Da Nang — Sinogastronomie

Summer Le est vietnamienne, habite la ville de Da Nang (en vietnamien Đà Nẵng, qui n’est autre que la Tourane de l’Indochine française), et a une passion pour la gastronomie de sa ville. Son blog, Danang Cuisine, est une superbe source d’informations sur la cuisine locale, avec notamment recettes et présentations de spécialités la cuisine […]

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Jus d’hydrocotyle — 25 août 2016

Jus d’hydrocotyle

Hydrocotyle. Ce nom vous dit-il quelque chose ? Aussi appelée herbe du tigre, Gotu kola, écuelle d’eau ou centella asiatica, cette plante aquatique présente de nombreuses vertus. Aux propriétés anti-âge, liftante, cicatrisante et réparatrice, cette variété originaire d’Asie se positionne comme un véritable allié beauté et soin au naturel. Utilisée depuis plus de 2000 ans en médecine ayurvédique, elle intervient aujourd’hui dans le cadre de traitement de phytothérapie. (TOUVERT)

250 g de feuilles d’hydrocotyle (pennywort) nettoyées à  à l’eau salée ou avec du jus de lime puis rincées
800 ml d’eau naturelle ou pétillante
200 ml de sirop de sucre de palme (miel) ou de sucre

  1. Mélanger. Verser 600 ml  d’eau dans le récipient d’un robot puis ajouter les feuilles d’hydrocotyle.
  2. Tamiser. Passer les feuilles et le jus au tamis afin d’en extraire tout le jus. Ajouter le reste d’eau (200 ml) et le sirop. Mélanger.
  3. Terminer. Transvaser le jus dans une carafe puis servir avec des glaçons, ajouter plus de sucre et du sel si désiré.

Le jus se conserve au réfrigérateur pour 2 jours ou au congélateur sous forme de glaçons pour une plus grande durée.  

Liens utiles : Viet World Kitchen — Sinogastronomie — 21 Mai 2016
Littérature et gastronomie : Festin de viande de chien à Vân Đình (Nguyên Huy Thiêp) — 8 février 2016

Littérature et gastronomie : Festin de viande de chien à Vân Đình (Nguyên Huy Thiêp)

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Voici le dernier volet de la partie gastronomique des aventures d’une famille vietnamienne contée dans la nouvelle de Nguyên Huy Thiêp, « La dernière goutte de sang ». À l’épisode précédent, le nouvelliste vietnamien avait décrit le banquet qui avait été organisé par M. Gia pour célébrer la réussite de son petit-fils, Pham Ngọc Chiểu, au concours du mandarinat. Après quelques années dans la fonction publique, pendant lesquelles le jeune Chiểu se distingue par la rouerie et le manque de scrupules qui caractérisent la carrière mandarinale (que ce soit en Chine ou au Vietnam), il est démis de ses fonctions pour avoir fait rosser un missionnaire français qui, pour le malheur de Chiểu, était fort influent. Chiểu met donc fin à sa carrière et coule des jours heureux dans sa région natale. Seule ombre au tableau : il n’a pas d’héritier ! Il part donc en pèlerinage avec son épouse, Madame Diêu…

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Littérature et gastronomie : Un banquet en l’honneur d’un nouveau bachelier (Nguyên Huy Thiêp) — 31 janvier 2016

Littérature et gastronomie : Un banquet en l’honneur d’un nouveau bachelier (Nguyên Huy Thiêp)

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Nous poursuivons le récit des aventures gastronomiques des personnages de la nouvelle « La dernière goutte de sang » de Nguyên Huy Thiêp…
Nous avions vu comment un boucher avait exprimé dans ses dernières volontés son désir de voir l’un des membres de sa descendance accéder au mandarinat (ici), et comment le fils dudit boucher avait négocié avec un lettré de renom pour qu’il acceptât de prendre son petit-fils comme disciple (ici). Tous ces efforts furent finalement couronnés de succès, puisque l’arrière-petit-fils du boucher fut reçu brillamment au concours du mandarinat vietnamien. En son honneur, un banquet grandiose fut organisé dans le village natal du nouveau mandarin. Voici commet Nguyên Huy Thiêp décrit ce banquet :
« L’année Mậu Tý, Chiểu reçut le titre de bachelier. Pour fêter l’évènement, M. Gia donna un banquet auquel il convia tous les habitants du village. Ce fut un festin : on avait préparé les…

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Littérature et gastronomie : Le dîner d’un mourant, et sa dernière volonté (Nguyên Huy Thiêp) — 26 janvier 2016

Littérature et gastronomie : Le dîner d’un mourant, et sa dernière volonté (Nguyên Huy Thiêp)

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À l’épisode précédent de cette série (voir ici), nous avions vu, dans le nouvelle La Dernière Goutte de sang de l’auteur vietnamien Nguyên Huy Thiêp, comment M. Gia, honorable boucher, s’était enquis auprès d’un vénérable lettré du genre de littérature que devait apprendre son petit-fils, dont il désirait qu’il devînt mandarin.
Un peu plus tôt dans la même nouvelle, on voit que c’est pour réaliser la dernière volonté de son père, M. Liên, que M. Gia avait confié son petit-fils aux bons soins du maître confucéen. Voici le récit :
« Lorsque (M. Liên) tomba gravement malade, son fils aîné, Phạm Ngọc Gia, boucher de son état, ne quitta pas son chevet pendant tout un mois : il en avait les yeux caves et la barbe en broussaille. Près du lit de M. Liên, il y avait en permanence et à profusion des bananes, des oranges, de la viande et du pâté.
M…

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Littérature et gastronomie : La littérature et la boucherie, finalement, c’est la même chose, non ? — 22 janvier 2016

Littérature et gastronomie : La littérature et la boucherie, finalement, c’est la même chose, non ?

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Je viens de terminer la lecture délectable du recueil de nouvelles Un général à la retraite, de l’écrivain vietnamien contemporain de tout premier plan qu’est Nguyên Hui Thiêp (recueil réédité par les éditions de L’Aube en 2015, ISBN : 978-2-8159-1123-8, traduction très fluide de Kim Lefèvre). La troisième nouvelle de ce recueil, intitulée « La dernière goutte de sang », narre l’histoire d’une famille qui, après une apogée éphémère, finit par s’éteindre. Le plus grand souhait du patriarche, boucher de son état, est de voir l’un de ses descendants réussir brillamment les examens du mandarinat. Pour ce faire, il conduit l’un de ses petits-fils, doté d’une intelligence peu commune, auprès d’un lettré de renom. L’artisan, avant de prendre la décision de confier ou non le chérubin à ce maître, s’enquiert de ce qu’est la littérature. Le maître se met en devoir d’expliquer au grand-père ce qu’est la science des lettres, et le…

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